Bien chers paroissiens,

Quelques points de repères pour l’été qui commence…

La vérité :

Elle est à la fois humaine et divine : ne pas transiger, dans les circonstances que nous connaissons, est une exigence de toute âme bien née, et fait partie de notre vocation de chrétien. Le démon est « le père du mensonge » (Jo 8,44). Et la pire forme du mensonge est celle qui mélange effrontément le vrai et le faux.

« On ne peut vraiment pas tourner le dos à la vérité, ni arrêter de l’annoncer, ni la cacher, même s’il s’agit d’une vérité difficile, dont la révélation s’accompagne d’une grande souffrance (…) Il faut rendre témoignage à la vérité, même au prix de persécutions, jusqu’au prix du sang, comme le Christ lui-même l’a fait . » (Jean-Paul II, Levez-vous ! Allons !)

La prière : Que votre volonté soit faite…

Si la volonté de Dieu est accomplie chez les justes, elle l’est aussi chez les injustes, alors les injustes deviendront justes. Voilà pourquoi si la volonté de Dieu est faite au Ciel, elle l’est aussi sur la terre, alors nous serons tous au Ciel. La chair ne sert de rien (Jo 6,63) et le sang qui lui est apparenté ne peuvent pas posséder le Royaume de Dieu (1 Cor 15,20). (Questions sur la prière, Origène, 111)

Dévotion eucharistique, par la communion et l’adoration :

Ô Jésus, victime de votre amour sur nos autels, je voudrais vous parler de votre charité sans borne, de votre incompréhensible patience, de votre profonde humilité, de votre parfaite obéissance, de vos prodigieux anéantissements…

Ô prêtres, qui pourra raconter vos privilèges ? L’Agneau est immolé pour tous ; mais vous seuls êtes chargés de faire les honneurs de sa table et d’inviter les convives du céleste banquet. (Pauline Jaricot, L’Amour infini dans la divine Eucharistie)

A vous tous, qui êtes à Versailles ou dans des contrées lointaines, nous vous assurons de notre prière et nous comptons sur les vôtres.

Avec notre dévouement sacerdotal,

notre reconnaissance va au Père Charles, accompagnée de notre demande d’ une invitation pour Lourdes !

Je vous bénis                                                        Abbé Renaud de La Motte, curé